L’Environnement
Les politiques du Sultanat en matière de protection de l’environnement et de conservation imaginative et prospectives d’Oman ont gagné une reconnaissance internationale. Le Programme des Nations Unies a cité Oman comme un pays ayant l’un des meilleurs résultats dans ses mesures de conservation et de contrôle de la pollution de l’environnement. La première législation environnementale a été promulguée en 1974 et en 1979. En mai 1984, Oman est devenu le premier pays arabe à établir un ministère exclusivement consacré à l’environnement.
En 1990, un projet de gestion de la zone côtière a été achevé en réponse à la menace posée par le développement urbain rapide. Ce projet, qui couvrait l’ensemble du littoral de 1700 km de long, a exigé des enquêtes écologiques poussées des régions côtières, de la mer et des îles du large. En 1997, le ministère a lancé un plan d’action pour la gestion des récifs coralliens et une proposition visant à multiplier les mangroves.
La nature d’Oman comprend une faune très variée, dont certaines espèces sont maintenant extrêmement rares. Il existe des lois strictes pour les protéger de la chasse et des réserves naturelles ont été créées pour éviter tout empiètement humain de l’habitat naturel d’espèces, telles que les léopards, les hyènes, les oryx, les gazelles, les bouquetins, les renards du désert, les antilopes et les chats sauvages. Dans la mer, 13 espèces de baleines et de dauphins ont été identifiées et quelque 400 espèces d’oiseaux peuvent être détectées à Oman à différentes saisons de l’année.
Oman est visité par cinq des sept espèces de tortues. Les plages de nidification des tortues à Ra’s al-Hadd/Ra’s al Jinz sont protégées par Décret Royal en tant que réserve naturelle. Depuis lors, les tortues s’avèrent représenter une attraction majeure pour l’éco-tourisme ; le Ministère a donc mis en place un code de conduite pour les visiteurs et imposé une limite de leur nombre sur les plages de tortues.
Les politiques du Sultanat en matière de protection de l’environnement et de conservation imaginative et prospectives d’Oman ont gagné une reconnaissance internationale. Le Programme des Nations Unies a cité Oman comme un pays ayant l’un des meilleurs résultats dans ses mesures de conservation et de contrôle de la pollution de l’environnement. La première législation environnementale a été promulguée en 1974 et en 1979. En mai 1984, Oman est devenu le premier pays arabe à établir un ministère exclusivement consacré à l’environnement.
En 1990, un projet de gestion de la zone côtière a été achevé en réponse à la menace posée par le développement urbain rapide. Ce projet, qui couvrait l’ensemble du littoral de 1700 km de long, a exigé des enquêtes écologiques poussées des régions côtières, de la mer et des îles du large. En 1997, le ministère a lancé un plan d’action pour la gestion des récifs coralliens et une proposition visant à multiplier les mangroves.
La nature d’Oman comprend une faune très variée, dont certaines espèces sont maintenant extrêmement rares. Il existe des lois strictes pour les protéger de la chasse et des réserves naturelles ont été créées pour éviter tout empiètement humain de l’habitat naturel d’espèces, telles que les léopards, les hyènes, les oryx, les gazelles, les bouquetins, les renards du désert, les antilopes et les chats sauvages. Dans la mer, 13 espèces de baleines et de dauphins ont été identifiées et quelque 400 espèces d’oiseaux peuvent être détectées à Oman à différentes saisons de l’année.
Oman est visité par cinq des sept espèces de tortues. Les plages de nidification des tortues à Ra’s al-Hadd/Ra’s al Jinz sont protégées par Décret Royal en tant que réserve naturelle. Depuis lors, les tortues s’avèrent représenter une attraction majeure pour l’éco-tourisme ; le Ministère a donc mis en place un code de conduite pour les visiteurs et imposé une limite de leur nombre sur les plages de tortues.