Belgique
Anvers, septembre – 3 octobre 2012
La 21e exposition s’est tenue à la Faculté des Religions Comparées d’Anvers relevant de l’université de Bruxelles. Des personnalités belges, représentant le ministère de la culture, la mairie d’Anvers, l’église catholique, la présidence de l’université ainsi qu’un ministre d’Etat ont qualifié de positive cette initiative qui vise à rectifier l’image négative que se font certains courants des musulmans, et à souligner en même temps les efforts du ministère omanais des affaires religieuses tendant à transmettre le véritable message de l’islam.
Le président de l’Université belge a particulièrement insisté sur la politique de tolérance qu’adopte le sultanat d’Oman dans ses rapports avec les autres religions. Pour le représentant de l’église catholique, l’exposition revêt une signification particulière dans la mesure où elle contribue à faire connaître la politique religieuse du sultanat basée sur le respect des croyances et traditions des adeptes d’autres confessions.
L’exposition a drainé un grand public composé d’archevêques d’églises, de responsables de lieux de prière, facultés religieuses, professeurs universitaires, étudiantes ainsi que des personnalités s’intéressant aux questions religieuses.
Anvers, septembre – 3 octobre 2012
La 21e exposition s’est tenue à la Faculté des Religions Comparées d’Anvers relevant de l’université de Bruxelles. Des personnalités belges, représentant le ministère de la culture, la mairie d’Anvers, l’église catholique, la présidence de l’université ainsi qu’un ministre d’Etat ont qualifié de positive cette initiative qui vise à rectifier l’image négative que se font certains courants des musulmans, et à souligner en même temps les efforts du ministère omanais des affaires religieuses tendant à transmettre le véritable message de l’islam.
Le président de l’Université belge a particulièrement insisté sur la politique de tolérance qu’adopte le sultanat d’Oman dans ses rapports avec les autres religions. Pour le représentant de l’église catholique, l’exposition revêt une signification particulière dans la mesure où elle contribue à faire connaître la politique religieuse du sultanat basée sur le respect des croyances et traditions des adeptes d’autres confessions.
L’exposition a drainé un grand public composé d’archevêques d’églises, de responsables de lieux de prière, facultés religieuses, professeurs universitaires, étudiantes ainsi que des personnalités s’intéressant aux questions religieuses.
